dimanche 6 mars 2011

Biographie d’Alain COUTTE

Biographie d’Alain COUTTE


Également disponible sur l’un de ses blogs :


Alain Coutte est né au Sénégal (Afrique), de parents expatriés, victimes des régimes bolchévique et nazi.

À 17 ans, il aide à titre humanitaire le PAIGC, le parti d’Amilcar Cabral - le « Che » africain - à acquérir son indépendance : avec la bénédiction de son père, il évacue les blessés, avec un avion qu’il pilote lui-même, de Ziguinchor à Dakar.
Luis Cabral, le demi-frère d’Amilcar, lui proposera la nationalité guinéenne et lui offrira une concession à vie sur l’île de Bubaque, située dans l’archipel des Bijagos, sur laquelle il aimait se rendre avec des amis, après l’indépendance de la Guinée Bissau. Il déclinera cette offre.
Ces épisodes sont relatés dans son dernier livre, « Casamance, région de mon enfance », qu’il a dédié a ses enfants, son frère adoptif Yolop Diatta, décédé en janvier 2010, et Christian, son meilleur ami d’enfance.

Plus jeune pilote de ligne au monde à dix huit ans, puis négociant en matières premières, consultant international, maître de conférence, directeur de divisions au sein de groupes de premier plan : CFAO et SCOA, dirigeant de société, il est aussi président d’une association humanitaire et sociale : EURAFRIKA Sénégal.

Le mardi 11 septembre 2001, lors des attentats contre les tours du World Trade Center et du Pentagone, son expérience aéronautique lui fait déceler immédiatement des anomalies. Il mène sa propre enquête, et publie, en 2003, son premier livre : « 11 septembre 2001, le complot ». Ce sera un best-seller, édité à plus de 900 000  exemplaires, et traduit en plusieurs langues dans le monde, ainsi que le début d’une nouvelle carrière d'auteur polygraphe, qu'il mène par passion d'écrire. Depuis cette date, il a écrit une soixantaine d'ouvrages.
Bibliographie :
L’intégralité des ses droits d’auteur est reversée à des organisations humanitaires et sociales.

Chercheur et historien indépendant, il est à l’origine du mouvement « interrogationniste » qu’il a fondé, et se distingue du courant « révisionniste », concernant certains faits historiques brûlants, en posant des questions, sans être passible de la loi Fabius-Gayssot qui muselle les historiens.
Il est engagé en droit international, ainsi que sur le plan humanitaire et social : il milite en faveur des Palestiniens, Kurdes et Indiens d'Amérique du nord, ainsi que contre toute forme d’esclavagisme.
Il organise en 2007, sur ses fonds propres, la deuxième commémoration de l’esclavage au Sénégal.

Également auteur et compositeur, il mélange l’histoire et la musique.
Au Sénégal, il mixe la musique africaine Mandingue, exportée aux Etats-Unis avec les esclaves africains, qui fut à l’origine du Gospel, de la Soul, du Blues, du Jazz... en effectuant un retour aux racines de la musique noire américaine. Le résultat est du Mandingo Blues, Mandingo Boogie-Woogie, Mandingo Jazz, Mandingo Madison, Mandingo Soul, Mandingo Swing,…
Il a entièrement re-écrit La Marseillaise de manière tout aussi révolutionnaire, en l'adaptant aux problèmes politiques du 21ème siècle, sur une composition de Jazz, Madison et Swing, plus dynamique et jeune. Elle est chantée par une jeune citoyenne du monde.
Il a également composé douze musiques de détente et relaxation, sur les thèmes de bruits de la nature de cinq minutes chacun, commercialisées sur un CD ROM d’une heure.

Président de l’association humanitaire « EURAFRIKA Sénégal », il rêve, tout en restant pragmatique,  que son pays natal soit un jour autosuffisant en matières énergétiques avec la Jathropa, un arbuste qui pourrait transformer le Sahara en réservoir de biocarburant pour le monde entier, en favorisant des centaines de milliers d’emplois en Afrique.
Il lutte, avec la même détermination, contre le tourisme sexuel et plus particulièrement pédophile, au Sénégal, qu’il considère comme un fléau.

Sur le plan politique, il n’est ni de droite, ni de gauche, mais pour « le bon sens commun », avec une forte sensibilité écologique.

Il est enfin le fondateur du courant de pensée philosophique agnostique-gnostique « Foi en Moi », qui encourage la connaissance au lieu de la Foi, et dans lequel la notion de Dieu n'existe pas.
Passionné d’échecs, il considère ce « noble jeu » comme un « art intellectuel ».

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